Pierre-Paul Durastanti

- La collection Pulps, « Ne connaître que le présent éternel de la SF, quel intérêt ? » (interview)
Le Novelliste #02 – pp. 122 à 129
Traducteur, novelliste, directeur de collection
Passeur militant des mauvais genres, passionné depuis toujours de science-fiction et d’autres domaines littéraires voisins (fantasy, fantastique) ou plus lointains (noir, thriller, historique), Pierre-Paul Durastanti est une figure aussi attachante qu’essentielle du petit monde de l’Imaginaire en France. Traducteur professionnel depuis trois décennies, il a obtenu en 2003 le GPI/Prix Jacques Chambon de la traduction pour L’I.A. et son double de Scott Westerfeld. Mais cet arbre ne doit pas cacher la forêt d’une carrière qui lui a permis de traduire les plus grands (Poul Anderson, Jack Vance, Ursula Le Guin, Gene Wolfe, Robert Silverberg, Anne MacCaffrey, etc.) comme de réviser de nombreux classiques afin de leur rendre tout leur lustre (Demain les chiens, Les robots, Cristal qui songe, entre autres). Aux ÉDITIONS DU BÉLIAL’, où il a dirigé et traduit de nombreux ouvrages, il fait partie du comité de rédaction de la revue BIFROST. On lui doit également, chez le même éditeur, la création de la collection PULPS qui ambitionne d’éditer l’intégralité de la série « Capitaine futur » d’Edmond Hamilton, jusqu’à présent inédite en français. Né en 1963 à Nîmes, Pierre-Paul Durastanti vit en Aveyron.
Le Novelliste #02 – pp. 122 à 129