Paru en 1920 et finaliste du prix Goncourt cette année-là, L’Arche est sans conteste le roman le plus abouti et le plus ambitieux d’André Arnyvelde. Lyrique, jubilatoire et parfois prophétique, cet auteur trop tôt oublié s’aventure aux côtés de l’Arcandre dans l’infiniment petit comme dans l’infiniment grand, expérience transcendant la seule condition humaine qui n’est pas sans évoquer Olaf Stapledon. Pierre Versins a chanté les louanges de ce roman et l’a réédité. Brian Stableford l’a traduit en anglais. Le Novelliste vous propose de le redécouvrir aujourd’hui.